2010 a été une année singulièrement compliqué pour un grand nombre de nations. Pendant que les pays Nord Afrique se sont réveillés (les célèbres révolutions du printemps) et ont atteints l’objectif de renverser leur dictateur assoiffé de fortune et de pouvoir, la démocratie à été salie dans les pays dits « évoluées ».

Accompagné par des plans d’austérité, des économies monétaires d’envergures ont été exécutées sur le plan de prestations sociales pourtant si nécessaires (ex : santé). C’est à cet instant précis qu’on a pu se rendre compte de la puissance du monde financier, véritable lobby qui dictait à la lettre les plans à adopter aux Etats (Grêce, espagne)

Le paradoxe est pourtant frappant : la population s’est lourdement appauvrie alors que les fortunés deviennent de plus en plus riches. Les banquiers, grands amoureux des placements court terme sans aucune responsabilité ont à nouveau obtenus des primes aux montants surdimensionnés. Notons que la crise de 2008 est majoritaire due à une spéculation démesurée sans aucune régulation.

Toutes ses opérations boursières profitent à une petite oligarchie alors que le peuple regarde sa situation se détériorer. En 2012, laisseront-nous encore les traders s’enrichir sur le dos des français?

Laisseront-nous une fois de plus les Etats enlever drastiquement nos acquis sociaux si durement négociés? Pour la sacro sainte croissance, laisseront-nous les pollueurs souiller la nature dont l’équilibre est si fébrile? Le web à fait un bond en avant pour l’écologie, il est aujourd’hui envisageable de faire Ouvrir un compte bancaire en ligne pour faire baisser les prix et l’impact écologique. Il est nécessaire de persister sur ces efforts.